Grand Prix Guyader / Douarnenez en fête, Vincent Riou et Erwan Le Roux vainqueurs du jour (images)

Avec toutes les flottes de bateaux du Grand Prix Guyader qui naviguaient aujourd’hui, la baie de Douarnenez était fidèle à son image de ‘stade nautique’. Le vent était encore timide et les régates se sont déroulées dans de petites conditions. C’est sur une mer d’huile que les comités ont lâché les différentes flottes sur des parcours côtiers pour les bateaux de la course au large et techniques pour les Mach 6.5, les Diam 24 Open Design et les Dragon.  Le Grand Prix Guyader avait des allures de Riviera pour clôturer ce week-end du 1er mai !



Oman Sail et TeamWork au Grand Prix Guyader à Dournenez.

Credit : J.Vapillon

Les Diam24 One Design tiennent leurs promesses
C’est Vincent Riou (PRB) qui a remporté l’épreuve après six courses, devant Jean Pierre Nicol (No Limit Marine) qui avait pourtant dominé les premiers débats. «On a pu régater même dans du petit temps. Six manches en six jours, c’est bien. On gagne la première régate de ce nouveau bateau qui attire des gens talentueux, alors on est forcément content. »

Du côté des Mach 6.5, six courses ont été également réalisées. Marc de Saint Denis (MACH2SD) s’est décidemment révélé imbattable malgré toute l’énergie déployée par l’équipage de l’Ankou, deux petits points les séparaient à l’issue de ce Trophée.


Erwan Le Roux s'impose, Actual dans les cailloux
En Multi50 et Class40, les deux vainqueurs au général après cinq courses ont dominé de bout en bout. Erwan Leroux sur FenêtréA Cardinal a été impérial avec cinq victoires et une place de deuxième. «On est content, on a bien navigué, nous retrouvons nos repères sur le bateau, c’était le but de notre venue à Douarnenez. Demain, il va y avoir de belles conditions, soit on enfoncera le clou, soit… C’est dommage pour Actual (qui a touché la digue du Rosmeur lors d’une manœuvre). J’espère qu’ils seront de la partie pour finir ce Grand Prix ».


En Class40, Sébastien Rogues (GDF SUEZ) a, jusqu’à ce dimanche, écrasé ses adversaires, les laissant loin derrière à chaque course. Seule la première lui a échappé, mais il est vrai qu’il n’était pas à bord de son bateau ce jour-là...



Par la rédaction
Source : V.Guillou Le Bivic