Le "No Plastic Challenge" commence, Stéphane Le Diraison soutient l'opération luttant contre la pollution plastique

Ce mercredi 22 mai débute la deuxième édition du No Plastic Challenge. Proposée par l’association No Plastic in My Sea, cette mobilisation nationale vise à lutter contre la pollution plastique, en réduisant collectivement la production et la consommation de ce matériau non biodégradable. Concrètement, jusqu’au 5 juin, des objectifs seront fixés quotidiennement pour sensibiliser sur un point précis. Stéphane Le Diraison, le skipper de l'IMOCA Time For Oceans, appelle à soutenir l'Opération.


Credit : F.Van Malleghem

L’appel de Stéphane Le Diraison

Avec son projet « Time For Oceans », le skipper Stéphane Le Diraison souhaite mobiliser sur la préservation des océans, en soulignant que chacun peut et doit agir en ce sens, car c’est essentiellement de nos activités à terre que sont issues ces pollutions. C’est tout naturellement qu’il soutient le No Plastic Challenge.

« Ca fait mal au cœur de voir tout ce qu’on rejette dans les océans (ndlr : essentiellement de manière indirecte)Le No Plastic Challenge est une initiative qui a pour but de sensibiliser à ces pollutions et il est primordial que les participants soient nombreux, en parlent autour d’eux, relayent les actions. J’ai envie d’agir et d’inciter les autres à le faire, en particuliers les skippers. Je leur lance un appel : nous sommes des ambassadeurs de cette cause. Participez au No Plastic Challenge et relayez-le pour qu’il ait le maximum d’impact ! »


Le NO PLASTIC CHALLENGE

Utiliser une gourde, avoir un sac de course réutilisable, opter pour un savon solide, éviter de commander sur Internet, bannir les sachets et doses individuels, supprimer les pailles en plastique…

Voici quelques gestes proposés à l’occasion du NO PLASTIC CHALLENGE. Cette opération, qui se tiendra du 22 mai au 5 juin, permettra à chacun de prendre conscience de son utilisation du plastique et surtout d’être informé sur les solutions alternatives permettant de réduire son empreinte plastique.


Source : Mer & Media