A moins de 15 jours du grand départ, Yann Eliès, le skipper de Generali, comme beaucoup d’autres, s’est échappé. Il a rejoint ses quartiers privés, sorte de sas avant une exposition tant imaginée, qu’appréhendée et souhaitée. Yann, sur place la semaine dernière aux Sables d’Olonne a répondu présent à toutes sollicitations qu’engendre cet événement : les entretiens avec des journalistes, les rencontres avec des enfants des classes vendéennes, les briefings et contrôles de sécurité… Toujours sur le pont, il n’a jamais rechigné. Là réside aussi la magie du Vendée Globe : cette faculté à faire partager avec le plus grand nombre les émotions et les convictions inhérentes à un projet de solitaire qui se vit et se déroule avec le lancement, il y a 3 ans, de la conception et de la construction d’un coursier océanique taillé pour la route des trois caps. Generali est bien là, amarré au ponton du Vendée Globe, prêt à vivre à plein un projet engagé il y a longtemps, qui prend soudainement toute sa dimension.
Visite guidée de Générali par Yann Eliès
en 360°...
De son côté, l’équipe technique ne chôme pas. Après le briefing sécurité, elle a reçu cette semaine les visites des jaugeurs et contrôleurs qui veillent au grain pour que ce tour du monde, qui passe par les trois caps et le tour de l’Antarctique, laisse comme il se doit la place au sport et la compétition. La sécurité reste le maître mot pour tous et Generali, bateau puissant capable d’avaler les milles avec l’appétit d’un ogre, n’en demeure pas moins un compagnon de route fiable conçu pour tracer son sillon avec bonheur et réussite.
Source : Générali