Morlaix, plus de 1000 ans d’existence et son remarquable patrimoine historique, ses maison à pans de bois, son viaduc et… son port où a été baptisé Prince de Bretagne en début d’après midi aujourd’hui. Et c’est un événement doublement symbolique, puisque c’est à quelques encablures de Morlaix qu’est implanté le siège de Prince de Bretagne.
© DESROCHE Pascal/Prince de Bretagne
Place à la course
L’histoire de Prince de Bretagne et de la course au large a débuté sur la Québec Saint Malo, premier chapitre d’une aventure qui s’est prolongée par la construction du multi50 dessiné par Nigels Iren et Benoît Cabaret chez Marsaudon Composites à Lorient.
Désormais baptisé, Prince de Bretagne va pouvoir débuter sa campagne de course, à commencer par le Trophée Multi50 Prince de Bretagne Côtes d’Armor qui se tiendra à Saint-Quay-Portrieux du 24 au 27 septembre, l’objectif prioritaire de l’année étant la Transat Jacques Vabre dont le départ sera donné du Havre, le 8 novembre prochain. Auparavant, Hervé Cléris et Christophe Dietsch vont tester le trimaran avant de réaliser leur parcours de qualification (1000 milles) pour participer à la Transat Jacques Vabre.
Verbatim
Joseph Rousseau, président de Prince de Bretagne : « C'est un temps fort, comme l'a été la mise à l'eau, qui s'inscrit dans une démarche à long terme, avec d'abord la Transat Jacques Vabre, même si, pour nous, le principal rendez-vous reste la Route du Rhum. Chez Prince de Bretagne, nous sommes réellement motivés, malgré un contexte économique très difficile pour les producteurs de fruits et légumes. Le climat, qui aidera peut être notre bateau aidera aussi peut être notre production. Ce bateau est notre porte drapeau, il symbolise 40 ans de travail et de vision partagée».
Hervé Cléris, le skipper : «Croyant ou non, un baptême de bateau, c'est un moment fort, essentiel et émouvant qui symbolise sa naissance. C'est un bel exemple de savoir vivre et de partage, dans le respect des traditions et je suis très attaché aux traditions ».
Dan Ar Braz, le parrain : « Je me considère comme un paysan de la musique et j'ai accepté d'être le parrain de Prince de Bretagne parce que sans les paysans bretons, notre culture et notre langue se seraient perdues, ne seraient jamais venues jusqu'à nous. C'est ma façon à moi de leur rendre hommage et de les remercier. Enfin, ces aventuriers capables de partir sur la mer, comme Hervé, m'impressionnent énormément. Ils sont confrontés à des éléments qui rendent humbles et l'humilité, notre société en manque cruellement».
L’histoire de Prince de Bretagne et de la course au large a débuté sur la Québec Saint Malo, premier chapitre d’une aventure qui s’est prolongée par la construction du multi50 dessiné par Nigels Iren et Benoît Cabaret chez Marsaudon Composites à Lorient.
Désormais baptisé, Prince de Bretagne va pouvoir débuter sa campagne de course, à commencer par le Trophée Multi50 Prince de Bretagne Côtes d’Armor qui se tiendra à Saint-Quay-Portrieux du 24 au 27 septembre, l’objectif prioritaire de l’année étant la Transat Jacques Vabre dont le départ sera donné du Havre, le 8 novembre prochain. Auparavant, Hervé Cléris et Christophe Dietsch vont tester le trimaran avant de réaliser leur parcours de qualification (1000 milles) pour participer à la Transat Jacques Vabre.
Verbatim
Joseph Rousseau, président de Prince de Bretagne : « C'est un temps fort, comme l'a été la mise à l'eau, qui s'inscrit dans une démarche à long terme, avec d'abord la Transat Jacques Vabre, même si, pour nous, le principal rendez-vous reste la Route du Rhum. Chez Prince de Bretagne, nous sommes réellement motivés, malgré un contexte économique très difficile pour les producteurs de fruits et légumes. Le climat, qui aidera peut être notre bateau aidera aussi peut être notre production. Ce bateau est notre porte drapeau, il symbolise 40 ans de travail et de vision partagée».
Hervé Cléris, le skipper : «Croyant ou non, un baptême de bateau, c'est un moment fort, essentiel et émouvant qui symbolise sa naissance. C'est un bel exemple de savoir vivre et de partage, dans le respect des traditions et je suis très attaché aux traditions ».
Dan Ar Braz, le parrain : « Je me considère comme un paysan de la musique et j'ai accepté d'être le parrain de Prince de Bretagne parce que sans les paysans bretons, notre culture et notre langue se seraient perdues, ne seraient jamais venues jusqu'à nous. C'est ma façon à moi de leur rendre hommage et de les remercier. Enfin, ces aventuriers capables de partir sur la mer, comme Hervé, m'impressionnent énormément. Ils sont confrontés à des éléments qui rendent humbles et l'humilité, notre société en manque cruellement».
Source : Prince de Bretagne
