Crédit : Y Zedda/Sodebo
Après 24 heures en mer, 532 milles parcourus à 21,4 nœuds de moyenne, une heure de sommeil volé au petit matin, quelques bouchées de tagliatelles au poulet assaisonnées à l’huile d’olive et parfumées au basilic, le tout avalé entre deux réglages, le marin solitaire se trouve déjà au sud du Cap Finisterre et dévale « le toboggan des alizés portugais » à la vitesse de 20-25 nœuds. Il glisse le long des côtes portugaises sous gennaker et grand voile à un ris poussé par un vent d’une vingtaine de noeuds.
Au programme, un empannage en fin de journée qui lui permettra de mettre le cap sur le Nord de Madère.
Source : Sodebo