Alors que le trimaran Prince de Bretagne est amarré, depuis vendredi, au Havre, dans le bassin Paul Vatine, Lionel Lemonchois et Matthieu Souben ont rejoint dès samedi soir leur base en Bretagne. Le but : s'octroyer trois journées loin de l'agitation du village de la course, se ressourcer et préparer ses sacs. Car ça y est, la dernière semaine à terre est entamée. Le compte à rebours a débuté.
Si certains concurrents de la Transat Jacques Vabre ont choisi de rester en Normandie, à proximité de leur bateau, pour superviser les derniers préparatifs, d'autres, à l'image de Lionel Lemonchois et Matthieu Souben, ont préféré rentrer chez eux pour se ressourcer loin des pontons. « Prince de Bretagne est tout à fait prêt. De plus, la dernière semaine avant le départ est souvent longue. Entre les obligations officielles, les briefings, les rencontres avec le grand public ou encore les interviews avec les journalistes, elle est rarement de tout repos. C'est pourquoi il est important de s'isoler eu peu » détaille le vainqueur de la Route du Rhum 2010 en Multi50. Pour lui, s'isoler ne signifie par pour autant ne rien faire. Bien au contraire.
Pour preuve, présent dans son chantier à Lorient dès la première heure ce lundi, il suit les travaux lancés sur sa future monture, le Maxi Prince de Bretagne « J'observe, je fais des points avec l'équipe, je m'assure que les choses suivent leur cours. Une réunion est également programmée avec les architectes demain. Je fais des trucs et des bidouilles. Il y en a toujours des tas à faire sur un bateau, qui plus est quand il est nouveau » commente Lionel, qui, on l'aura compris, n'est pas encore passé en « mode course ». « Ce sera réellement le cas à partir de mercredi. Matthieu et moi serons alors de retour au Havre pour assister au briefing de l'organisation. Dès lors, l'un comme l'autre, nous serons focalisés sur la course et uniquement sur elle » explique t-il.
Et la météo dans tout ça ? « J'ai prévu de m'y mettre aujourd'hui. Je vais commencer à regarder la situation d'un peu plus près. Matthieu a déjà le nez dedans. De mon côté, j'évite de décortiquer les fichiers trop tôt. A J-6, les choses sont souvent bien incertaines mais c'est sûr, c'est le dossier à attaquer maintenant. C'est aussi celui qui va nous occuper jusqu'à la dernière minute avant le coup de canon. »
Source : Rivacom / Prince de Bretagne
Credit : M. Mochet
Si certains concurrents de la Transat Jacques Vabre ont choisi de rester en Normandie, à proximité de leur bateau, pour superviser les derniers préparatifs, d'autres, à l'image de Lionel Lemonchois et Matthieu Souben, ont préféré rentrer chez eux pour se ressourcer loin des pontons. « Prince de Bretagne est tout à fait prêt. De plus, la dernière semaine avant le départ est souvent longue. Entre les obligations officielles, les briefings, les rencontres avec le grand public ou encore les interviews avec les journalistes, elle est rarement de tout repos. C'est pourquoi il est important de s'isoler eu peu » détaille le vainqueur de la Route du Rhum 2010 en Multi50. Pour lui, s'isoler ne signifie par pour autant ne rien faire. Bien au contraire.
Pour preuve, présent dans son chantier à Lorient dès la première heure ce lundi, il suit les travaux lancés sur sa future monture, le Maxi Prince de Bretagne « J'observe, je fais des points avec l'équipe, je m'assure que les choses suivent leur cours. Une réunion est également programmée avec les architectes demain. Je fais des trucs et des bidouilles. Il y en a toujours des tas à faire sur un bateau, qui plus est quand il est nouveau » commente Lionel, qui, on l'aura compris, n'est pas encore passé en « mode course ». « Ce sera réellement le cas à partir de mercredi. Matthieu et moi serons alors de retour au Havre pour assister au briefing de l'organisation. Dès lors, l'un comme l'autre, nous serons focalisés sur la course et uniquement sur elle » explique t-il.
Et la météo dans tout ça ? « J'ai prévu de m'y mettre aujourd'hui. Je vais commencer à regarder la situation d'un peu plus près. Matthieu a déjà le nez dedans. De mon côté, j'évite de décortiquer les fichiers trop tôt. A J-6, les choses sont souvent bien incertaines mais c'est sûr, c'est le dossier à attaquer maintenant. C'est aussi celui qui va nous occuper jusqu'à la dernière minute avant le coup de canon. »
Source : Rivacom / Prince de Bretagne