Samedi matin, à 100 milles de l'arrivée, Groupama sailing team repérait une voie d'eau à l'étrave, causée par une collision suivie d'un délaminage. La fuite est heureusement rapidement colmatée et les tricolores franchissent finalement la ligne d'arrivée en vainqueurs à Auckland quelques heures plus tard. Mais maintenant, au port, c'est l'équipe technique qui s'active et attaque la réparation.
« On a trouvé un impact qui a propagé des délaminages, » explique Pierre Tissier, responsable de la construction de Groupama 4. « Une zone sous la "collision bulkhead", la cloison de collision, est délaminée. »
Dès son arrivée à quai, le bateau français a été gruté et mis à sec. Rapidement, une section d'un mètre à l'étrave a été coupée pour inspecter les dommages de plus près. « C'est une avarie assez facile à résoudre, » explique Tissier, confiant. « On est encore au stade de l'inspection. S'il n'y a que ce qu'on voit là, ça devrait aller assez vite. »
Groupama sailing team estime que l'impact et la délamination ont été provoqués par les très dures conditions de mer au nord de la Nouvelle-Zélande, il y a 48 heures. Mais Tissier n'exclut pas la théorie de l'OFNI (objet flottant non identifié).
« L'équipage a vraiment été malmené à Cap Reinga, il y avait sept ou huit mètres de creux avec du vent de face. Ils étaient tous inquiets pour la structure et se demandaient comment ça pouvait tenir. Notre problème est lié à cela, mais on pense aussi que quelque chose a touché l'étrave. »
Avec la course In-Port prévue samedi prochain (17 mars) et le départ de l'Etape 5 le dimanche 18, l'équipe technique est plutôt pressée … « Tout notre staff Composite est au boulot 24/24. Franck, lui, se repose. Il le mérite ! »
Source : Volvo Ocean Race
« On a trouvé un impact qui a propagé des délaminages, » explique Pierre Tissier, responsable de la construction de Groupama 4. « Une zone sous la "collision bulkhead", la cloison de collision, est délaminée. »
Dès son arrivée à quai, le bateau français a été gruté et mis à sec. Rapidement, une section d'un mètre à l'étrave a été coupée pour inspecter les dommages de plus près. « C'est une avarie assez facile à résoudre, » explique Tissier, confiant. « On est encore au stade de l'inspection. S'il n'y a que ce qu'on voit là, ça devrait aller assez vite. »
Groupama sailing team estime que l'impact et la délamination ont été provoqués par les très dures conditions de mer au nord de la Nouvelle-Zélande, il y a 48 heures. Mais Tissier n'exclut pas la théorie de l'OFNI (objet flottant non identifié).
« L'équipage a vraiment été malmené à Cap Reinga, il y avait sept ou huit mètres de creux avec du vent de face. Ils étaient tous inquiets pour la structure et se demandaient comment ça pouvait tenir. Notre problème est lié à cela, mais on pense aussi que quelque chose a touché l'étrave. »
Avec la course In-Port prévue samedi prochain (17 mars) et le départ de l'Etape 5 le dimanche 18, l'équipe technique est plutôt pressée … « Tout notre staff Composite est au boulot 24/24. Franck, lui, se repose. Il le mérite ! »
Source : Volvo Ocean Race