Et si sa 17e participation était la bonne ? Gildas Morvan veut y croire, lui qui a terminé quatre fois sur le podium de la Solitaire du Figaro. A une semaine du départ, le skipper de Cercle Vert est fin prêt… et toujours aussi motivé.
"Il y a un moment où on arrête de compter le nombre de participations ! Ce que je sais c'est que quoiqu'il arrive je reviens toujours avec grand plaisir sur La Solitaire : c'est une grande course, complexe, avec un plateau toujours relevé, des rebondissements. Elle est toujours palpitante… et j'en ai toujours autant envie !" Fermez le ban, c’est dit ! Cette année encore, il ne faut donc pas compter sur le skipper de Cercle Vert pour jouer les blasés. Surtout quelques semaines après avoir signé une éclatante victoire dans la Transat AG2R avec Charlie Dalin. "C'est clair que c'est un plus énorme pour la confiance" estime Gildas "et je vais m'appuyer là-dessus. Car pendant la Transat on s'est beaucoup apportés avec Charlie. On a trouvé encore quelques petits trucs pour optimiser les réglages de mât, les paramétrages de l'informatique, le pilote automatique… on a vu aussi que la vitesse pure était très satisfaisante. Tout cela c'est du bonus avant d'attaquer cette Solitaire, dans une semaine."
Jusqu'au convoyage en deux étapes, Gildas a encore validé des choses. "De Brest, j'ai fait une petite partie en équipage jusqu'à l'Aber Wrac'h, avec des copains et surtout un voilier de chez Incidences avec qui on a encore discuté de la garde robe du bateau. Ensuite, je suis reparti seul, de nuit, pour la deuxième partie vers Lézardrieux. Cela m'a permis de bien me mettre dans le bain, car les conditions étaient musclées, avec plus de 30 noeuds de vent".
Bien préparé, bien motivé, Gildas est d'attaque et passera la dernière semaine avant le grand départ dimanche 24 juin, à se relaxer et étudier la météo. Et si ce n'est pas une superstition, cela fait du bien tout de même de penser à une statistique sympathique : "Sur La Solitaire j'ai déjà gagné des étapes en Espagne et à Cherbourg, donc je connais le chemin !" (rires). La première étape vers Gijon sera d'ailleurs corsée, avec 500 milles au menu en Manche, à la pointe de Bretagne et à travers le golfe de Gascogne. Dans une semaine, ils seront 37 à vouloir être devant. Dont Gildas Morvan.
Source : Mer et Medias
Credit : A.Courcoux
"Il y a un moment où on arrête de compter le nombre de participations ! Ce que je sais c'est que quoiqu'il arrive je reviens toujours avec grand plaisir sur La Solitaire : c'est une grande course, complexe, avec un plateau toujours relevé, des rebondissements. Elle est toujours palpitante… et j'en ai toujours autant envie !" Fermez le ban, c’est dit ! Cette année encore, il ne faut donc pas compter sur le skipper de Cercle Vert pour jouer les blasés. Surtout quelques semaines après avoir signé une éclatante victoire dans la Transat AG2R avec Charlie Dalin. "C'est clair que c'est un plus énorme pour la confiance" estime Gildas "et je vais m'appuyer là-dessus. Car pendant la Transat on s'est beaucoup apportés avec Charlie. On a trouvé encore quelques petits trucs pour optimiser les réglages de mât, les paramétrages de l'informatique, le pilote automatique… on a vu aussi que la vitesse pure était très satisfaisante. Tout cela c'est du bonus avant d'attaquer cette Solitaire, dans une semaine."
Jusqu'au convoyage en deux étapes, Gildas a encore validé des choses. "De Brest, j'ai fait une petite partie en équipage jusqu'à l'Aber Wrac'h, avec des copains et surtout un voilier de chez Incidences avec qui on a encore discuté de la garde robe du bateau. Ensuite, je suis reparti seul, de nuit, pour la deuxième partie vers Lézardrieux. Cela m'a permis de bien me mettre dans le bain, car les conditions étaient musclées, avec plus de 30 noeuds de vent".
Bien préparé, bien motivé, Gildas est d'attaque et passera la dernière semaine avant le grand départ dimanche 24 juin, à se relaxer et étudier la météo. Et si ce n'est pas une superstition, cela fait du bien tout de même de penser à une statistique sympathique : "Sur La Solitaire j'ai déjà gagné des étapes en Espagne et à Cherbourg, donc je connais le chemin !" (rires). La première étape vers Gijon sera d'ailleurs corsée, avec 500 milles au menu en Manche, à la pointe de Bretagne et à travers le golfe de Gascogne. Dans une semaine, ils seront 37 à vouloir être devant. Dont Gildas Morvan.
Source : Mer et Medias
