Crowdfunding / Didac Costa a besoin d'un dernier coup de pouce avant le départ du Vendée Globe

Didac Costa, l’unique participant espagnol du Vendée Globe, a lancé un appel pour recevoir un dernier coup de pouce nécessaire à son départ. A la recherche de partenaires de dernière minute et campagne de crowdfunding lancée, le marin "a vraiment besoin d’aide pour que One Planet One Ocean soit prêt pour affronter ce tour du monde le 6 novembre prochain." 


Didac Costa
Credit : Sergio Patricio

Touché par la foudre
"Jusqu’à aujourd’hui, nous gardions l’espoir de trouver un partenaire qui aurait donné son nom au projet et qui nous aurait permis de financer les équipements endommagés par la foudre ainsi que le coût de réception des informations météorologiques durant la course." Pour rappel, le gréement du monocoque One Planet One Ocean a été touché récemment par un impact de foudre qui a engendré des dégâts significatifs au niveau de l’électronique du bord.

Didac Costa, pompier dans le civil, a lancé cet appel aux dons peu de temps après son arrivée aux Sables d’Olonne.


Partenaire et crowdfunding
La grand voile de Didac Costa est encore disponible pour de potentielles entreprises partenaires. Par ailleurs, le navigateur espagnol a lancé une campagne de crowdfunding. Elle permet aux participants de recevoir, en échange de leurs dons, une contrepartie (goodies marqués du Logo One Planet One Ocean, navigation à bord de l’Imoca…).

Au total, le marin a encore besoin de compléter son budget à hauteur de 70 000 €.

Pour aider Didac Costa à prendre le départ de la course, c’est par ici 



Le marin en bref
Pompier dans le civil, Didac a une expérience significative de la course au large puisqu’il a bouclé la Mini Transat en 2011 et a fini 4ème de la 3ème édition de la Barcelona World Race 2014/2015 avec son co-équipier Aleix Gelabert.

Le navigateur catalan s’apprête à vivre son premier tour du Monde en solitaire, à bord de l’ex-Kingfisher d’Ellen McArthur qu’elle avait mené à la seconde place du Vendée Globe en 2000.

Par la rédaction
Source : Kaori