Figaro / A l'approche de sa deuxième saison, Gwénolé Gahinet : "J’ai une grande marge de progression"

Vainqueur de La Transat AG2R, premier bizuth et 13ème de La Solitaire du Figaro, Gwénolé Gahinet a réussi sa première saison sur le circuit. En 2015, toujours à la barre de Safran-Guy Cotten, le jeune marin compte bien progresser encore. Au programme, trois courses : La Solo Maître CoQ, La Solitaire du Figaro et La Generali Solo.


Gwénolé Gahinet : "Aujourd’hui mon objectif est d’affiner et de perfectionner mes navigations en solitaire."
Credit : JM Liot/DPPI

A 30 ans, Gwénolé Gahinet, que l’on connaissait surtout pour avoir remporté la Transat Mini 6.50 en 2011, vient de passer sa première année en Figaro.


2015, progresser, perfectionner et confirmer 
« Sur La Solitaire, je sens que j’ai une grande marge de progression », explique Gwénolé Gahinet. « Aujourd’hui mon objectif est d’affiner, de peaufiner et de perfectionner mes navigations en solitaire. Je travaille la vitesse, les réglages et les départs. Tanguy Leglatin (son coach) a également décidé d’intégrer des intervenants extérieurs toute l’année afin d’avoir différents points de vue sur notre travail. » se réjouit le skipper de Safran-Guy Cotten.

Au programme du championnat de France Elite de Course au Large en Solitaire 2015 : la Solo Maître CoQ du 20 au 26 avril aux Sables d’Olonne, La Solitaire du Figaro Eric Bompard Cachemire du 22 mai au 28 juin et La Generali Solo en Méditerranée mi-septembre.


Objectif principal : La Solitaire
« Je suis vraiment content de ce parcours avec des étapes longues et beaucoup de navigation au large, c’est un format sur lequel je me sens plus à l’aise pour le moment. Il y aura à la fois du jeu stratégiquement parlant avec les deux traversées du golfe de Gascogne, et des points de passage intéressants comme l’estuaire de la Gironde ou encore le Cap Finisterre. Comme il n’y a pas de transat cette année, je vais me concentrer à fond sur ce parcours. J’ai déjà hâte d’y être ! » conclut le jeune marin.

Par la rédaction
Source : Mille et Une Vagues