BWR / La tête de flotte secouée, Bernard Stamm : "Ce sera musclé encore un moment" (Carnet de bord)

Trois ris dans la grand-voile, un point c’est tout. C’était la toile adoptée ce matin par l’équipage de Cheminées Poujoulat. Pour l’heure, c’est paradoxalement plutôt tranquille pour les deux équipages de tête sur la Barcelona World Race. Objectif : faire le dos rond et laisser passer le gros du mauvais temps devant les étraves. Le duo Stamm - Le Cam annonçait malgré tout 45 nœuds de vent et des creux de 7 à 8 mètres !


Credit : Th.Martinez


Images / La Volvo Ocean Race à Sanya, ça repart !

Les bateaux de la Volvo Ocean Race sont de retour à l'eau à Sanya, prêts à attaquer la quatrième étape. Samedi, place à l'In-Port et dimanche, cap sur Auckland !



Dongfeng de retour à l'eau à Sanya.


ITW / "Désormais on parle entre ingénieurs et techniciens", rendez-vous chez CDK de Lorient

Dans le monde de la voile, il est des entreprises incontournables. Savoir-faire incomparable, haute technologie, innovations, CDK technologies, spécialisée dans la construction en composites hautes performances, est de celles-là. Basée à Port la Forêt, CDK s'est agrandi en 2007 à Lorient sur l'anneau de Kéroman et adjoint une nouvelle unité : Kéroman Technologies. Portrait de l'entreprise avec Yann Dollo, directeur général adjoint.


La coque centrale du futur Macif 100 chez CDK.
Credit : A Courcoux / Macif100

Extreme Sailing Series / La rentrée 2015, c'est à Singapour en fin de semaine

Jeudi, coup d’envoi de la saison 2015 des Extreme Sailing Series à Singapour ! Cette neuvième saison sera marquée par l’entrée en scène de nouveaux concurrents. Neuf équipes s’affronteront du 5 au 8 février au pied des gratte-ciels. A quelques jours du départ, on fait le point sur les équipages en lice.


Credit : KaiSchaefer.de

BWR / L'oeil de Jérémie Beyou au tiers de course : "Deux manières différentes de naviguer"

Jérémie Beyou a participé à la première édition de la Barcelona World Race aux côtés de Sydney Gavignet. Victime d’un démâtage dans l’océan Indien, il n’avait malheureusement pas pu terminer. Il livre aujourd'hui son regard sur ce premier tiers de course.



Jérémie Beyou : "Avant, c’était plus simple : on ne savait pas où l’on risquait de trouver des glaces."
Credit : Y.Zedda