Source : iShares Cup
Transat Jacques Vabre / Crêpes Whaou ! qualifié, l'équipage enthousiaste
Plus les jours passent, plus la « job list » s’étoffe. Classique ! Mais sur cette liste sans fin, les tâches sont de plus en plus infimes. Des détails, des petits réglages, une multitude de petites choses qu’il vaudrait mieux faire, davantage pour des questions de confort que de bonne marche du bateau.
Franck-Yves et Erwan sont assurés désormais de ne pas prendre le départ avec la boite à outils sur le pont. Ils l’ont vérifié lors de leur parcours de qualification au large du Golfe de Gascogne en fin de semaine dernière. Leur course contre la montre, engagée dès la mise à l’eau fin août, a porté ses fruits. Au-delà des heures passées à bord, c’est aussi la grande expérience de Franck-Yves en Multi50 qui a permis d’optimiser rapidement le nouveau trimaran.
Le skipper malouin avait assuré qu’il ne tirerait pas trop sur le bateau avant la Transat Jacques Vabre… A voir les images récoltées au large la semaine dernière, il est permis d’en douter. C’est un tandem enthousiaste (et sacrément mouillé) qui est revenu de son parcours de qualification. Le bateau passe bien dans la mer, il est sûr, il galope. Et l’équipage prend du plaisir à le faire galoper.
Source : Jacques Vabre.com
Franck-Yves et Erwan sont assurés désormais de ne pas prendre le départ avec la boite à outils sur le pont. Ils l’ont vérifié lors de leur parcours de qualification au large du Golfe de Gascogne en fin de semaine dernière. Leur course contre la montre, engagée dès la mise à l’eau fin août, a porté ses fruits. Au-delà des heures passées à bord, c’est aussi la grande expérience de Franck-Yves en Multi50 qui a permis d’optimiser rapidement le nouveau trimaran.
Le skipper malouin avait assuré qu’il ne tirerait pas trop sur le bateau avant la Transat Jacques Vabre… A voir les images récoltées au large la semaine dernière, il est permis d’en douter. C’est un tandem enthousiaste (et sacrément mouillé) qui est revenu de son parcours de qualification. Le bateau passe bien dans la mer, il est sûr, il galope. Et l’équipage prend du plaisir à le faire galoper.
Source : Jacques Vabre.com
La Solidaire du Chocolat / Du choc' et la solidarité : une grande fête populaire et généreuse !
La Solidaire du Chocolat n'a pas encore pris le large qu'elle rencontre un vrai succès populaire. Son coup d'envoi événementiel à Nantes, le week-end dernier, a dépassé les espérances. La présence des bateaux au mouillage, aux côtés du Belem, a marqué les esprits des Nantais, qui ont répondu massivement à l'appel de cette manifestation inédite. L'image des voiliers avec leurs fanions multicolores sur les eaux de la Loire était jolie : insolite, elle a permis à la ville de Nantes de renouer, le temps d'un week-end, avec son histoire et son patrimoine maritime...
Toute la journée de samedi, le village n’a pas désempli : 10 000 personnes ont participé aux animations en tout genre sur le thème du chocolat, elles sont également venues à la rencontre des associations qui œuvrent au quotidien dans le domaine social, solidaire ou environnemental. Le point d’orgue reste la présentation officielle de la course avec la remise des chèques des mécènes aux associations embraquées dans l’aventure. La Solidaire a alors affirmé son identité et toute sa raison d’être.
Parade féerique et magique !
Dimanche, la Parade Solidaire, événement festif et généreux, a également déplacé les foules.
Le départ de Nantes, qui a vu le sourire radieux de collégiens et d’enfants handicapés qui embarquaient pour la première fois à bord d’un voilier, a touché les cœurs. Magique, féerique… Une vague d’émotion l’a bel et bien emporté au fil de l’Estuaire, tout au long de ce défilé inédit et convivial. Là encore, les spectateurs n’ont pas manqué le rendez-vous. Ils ont salué le Belem et la flottille de Class 40 jusqu’à Saint-Nazaire, dont le village à l’arrivée des bateaux a été pris d’assaut. Comme quoi, la solidarité et course au large font indéniablement très bon ménage : elles se partagent et se vivent comme un événement à part entière…
Place au sport !
Demain mercredi, le « Grand Choc’ » ouvrira ses portes et la Solidaire du Chocolat prendra pour les 48 navigateurs engagés toute sa dimension sportive. Avis aux amateurs et à tous ceux que le lancement de cette course pas comme les autres a touchés : ils peuvent toujours continuer de la suivre au plus près sur le site, mais aussi en s’inscrivant à la transat virtuelle qui promet, compte tenu du succès populaire déjà rencontré, d’être des plus disputées. Après l’émotion, place à la compétition !
Source : La Solidaire du Chocolat
Toute la journée de samedi, le village n’a pas désempli : 10 000 personnes ont participé aux animations en tout genre sur le thème du chocolat, elles sont également venues à la rencontre des associations qui œuvrent au quotidien dans le domaine social, solidaire ou environnemental. Le point d’orgue reste la présentation officielle de la course avec la remise des chèques des mécènes aux associations embraquées dans l’aventure. La Solidaire a alors affirmé son identité et toute sa raison d’être.
Parade féerique et magique !
Dimanche, la Parade Solidaire, événement festif et généreux, a également déplacé les foules.
Le départ de Nantes, qui a vu le sourire radieux de collégiens et d’enfants handicapés qui embarquaient pour la première fois à bord d’un voilier, a touché les cœurs. Magique, féerique… Une vague d’émotion l’a bel et bien emporté au fil de l’Estuaire, tout au long de ce défilé inédit et convivial. Là encore, les spectateurs n’ont pas manqué le rendez-vous. Ils ont salué le Belem et la flottille de Class 40 jusqu’à Saint-Nazaire, dont le village à l’arrivée des bateaux a été pris d’assaut. Comme quoi, la solidarité et course au large font indéniablement très bon ménage : elles se partagent et se vivent comme un événement à part entière…
Place au sport !
Demain mercredi, le « Grand Choc’ » ouvrira ses portes et la Solidaire du Chocolat prendra pour les 48 navigateurs engagés toute sa dimension sportive. Avis aux amateurs et à tous ceux que le lancement de cette course pas comme les autres a touchés : ils peuvent toujours continuer de la suivre au plus près sur le site, mais aussi en s’inscrivant à la transat virtuelle qui promet, compte tenu du succès populaire déjà rencontré, d’être des plus disputées. Après l’émotion, place à la compétition !
Source : La Solidaire du Chocolat
Vidéo / iShares Cup : Groupama 40, 1ère participation, 3 podiums et 4ème au classement général
Et le grand vainqueur de la saison iShares Cup 2009 est ....Oman Sail Masirah ! Il aura fallu attendre la dernière manche du dernier jour pour que le verdict tombe enfin ! L'équipage de Pete Cumming coiffe sur le poteau le team Gitana Extrême-Groupe LCF Rothschild mené par le français Yann Guichard avec seulement un point d'avance. Loïck Peyron à la barre d'Oman Sail Renaissance s'adjuge la troisième marche du podium, quelques points devant le Groupama 40 de Franck Cammas qui occupe la 4ème place du classement général. Les français restent bel et bien aux avant-postes de ce circuit international !
Groupama 40 sur le podium andalou :
Franck Cammas et ses hommes arboraient des visages heureux en arrivant au ponton cet après-midi. Et pour cause, ils signaient leur troisième podium de la saison. Déterminé et concentré, l'équipage de Groupama 40 a remporté une manche sur les six courues et manqué de peu la dernière au profit de Gitana. Tout au long de ces trois jours de compétitions espagnoles, Franck, Tanguy, Benoît et Fred n'ont pas baissé les bras, progressant à chaque bord.
Trois podiums sur les six événements courus :
Si les rounds de Venise, Hyères et Cowes ont été difficiles pour le team Groupama 40, on ne peut que constater les progrès réalisés tout au long de la saison. Après deux places de cinquième à Venise et Hyères, une place de sixième à Cowes, Cammas et ses hommes s'adjugent trois podiums à Kiel, Amsterdam et Alméria.
Malgré cette ascension, Groupama 40 reste aux pieds de la scène.
Cependant, le bilan que le skipper des multicoques Groupama tire de la saison n'est pas négatif :
Quelles sont vos impressions sur le circuit iShares ?
« J'ai été un peu surpris sur le type de régates qui étaient plus courtes que celles que j'avais eu l'occasion de courir lors de deux épreuves sur les précédentes éditions. Les plans d'eau étaient assez petits en règle générale. Si l'on regarde les classements, on s'aperçoit que les équipages aux avant-postes sont toujours les mêmes ; tout comme ceux que l'on retrouve en fin de classement. Ce qui me fait dire que le côté sportif du circuit a une véritable valeur. D'un autre côté, l'organisation se démène pour le public ; ce que je trouve intéressant car c'est le seul, avec dans une autre mesure, le Clairfontaine, où les spectateurs peuvent assister à nos joutes nautiques.
Ce circuit représente un très bon compromis entre le sport, le show et les médias. »
Quel bilan tirez-vous de cette première saison iShares avec Groupama 40 ?
« Malgré nos trois derniers podiums, nous manquons de régularité. L'exercice est assez singulier, les régates sont peu conventionnelles de par la petitesse des plans d'eau. On est souvent frustré car on n'atteint pas les objectifs que l'on s'était fixés. Le moindre grain de sable se paye très cher en place. D'autre part, il ne faut pas non plus le nier, les différents changements d'équipages opérés sur cinq des six événements n'aident pas, même s'il y a des aspects positifs à ces derniers, notamment en terme de poids embarqués.
Nous n'avons pas à rougir de notre quatrième place car nous finissons peu de point derrière le troisième et devant d'autres équipes qui sont présentes sur le circuit depuis plusieurs années. De plus, si l'on regarde les résultats de chacune des épreuves du circuit, on ne peut que constater une chose : Groupama 40 obtient les meilleurs résultats chaque dernière journée. Conclusion : il faut que l'on passe davantage d'heures ensemble sur le bateau. Plus on naviguera, meilleur on sera !
Je tenais à remercier l'ensemble de mes équipiers pour cette première saison ensemble. Merci également à Yoann Bibbeau toujours là pour nous encourager et préparer notre Groupama 40 ! »
Les hommes du team réfléchissent déjà à l'an prochain, comme en témoigne la conclusion de Tanguy Cariou en charge de la gestion de l'équipe navigante de Groupama 40 et tacticien du bord : « Il va vraiment falloir que l'on s'entraîne si nous voulons être meilleurs l'an prochain. Il faudra que nos entraînements soient spécifiques et adaptés aux particularités des différents plans d'eau sélectionnés. Mais, le potentiel, nous l'avons, il faudra compter avec nous ! » ...
Franck Cammas et ses hommes arboraient des visages heureux en arrivant au ponton cet après-midi. Et pour cause, ils signaient leur troisième podium de la saison. Déterminé et concentré, l'équipage de Groupama 40 a remporté une manche sur les six courues et manqué de peu la dernière au profit de Gitana. Tout au long de ces trois jours de compétitions espagnoles, Franck, Tanguy, Benoît et Fred n'ont pas baissé les bras, progressant à chaque bord.
Trois podiums sur les six événements courus :
Si les rounds de Venise, Hyères et Cowes ont été difficiles pour le team Groupama 40, on ne peut que constater les progrès réalisés tout au long de la saison. Après deux places de cinquième à Venise et Hyères, une place de sixième à Cowes, Cammas et ses hommes s'adjugent trois podiums à Kiel, Amsterdam et Alméria.
Malgré cette ascension, Groupama 40 reste aux pieds de la scène.
Cependant, le bilan que le skipper des multicoques Groupama tire de la saison n'est pas négatif :
Quelles sont vos impressions sur le circuit iShares ?
« J'ai été un peu surpris sur le type de régates qui étaient plus courtes que celles que j'avais eu l'occasion de courir lors de deux épreuves sur les précédentes éditions. Les plans d'eau étaient assez petits en règle générale. Si l'on regarde les classements, on s'aperçoit que les équipages aux avant-postes sont toujours les mêmes ; tout comme ceux que l'on retrouve en fin de classement. Ce qui me fait dire que le côté sportif du circuit a une véritable valeur. D'un autre côté, l'organisation se démène pour le public ; ce que je trouve intéressant car c'est le seul, avec dans une autre mesure, le Clairfontaine, où les spectateurs peuvent assister à nos joutes nautiques.
Ce circuit représente un très bon compromis entre le sport, le show et les médias. »
Quel bilan tirez-vous de cette première saison iShares avec Groupama 40 ?
« Malgré nos trois derniers podiums, nous manquons de régularité. L'exercice est assez singulier, les régates sont peu conventionnelles de par la petitesse des plans d'eau. On est souvent frustré car on n'atteint pas les objectifs que l'on s'était fixés. Le moindre grain de sable se paye très cher en place. D'autre part, il ne faut pas non plus le nier, les différents changements d'équipages opérés sur cinq des six événements n'aident pas, même s'il y a des aspects positifs à ces derniers, notamment en terme de poids embarqués.
Nous n'avons pas à rougir de notre quatrième place car nous finissons peu de point derrière le troisième et devant d'autres équipes qui sont présentes sur le circuit depuis plusieurs années. De plus, si l'on regarde les résultats de chacune des épreuves du circuit, on ne peut que constater une chose : Groupama 40 obtient les meilleurs résultats chaque dernière journée. Conclusion : il faut que l'on passe davantage d'heures ensemble sur le bateau. Plus on naviguera, meilleur on sera !
Je tenais à remercier l'ensemble de mes équipiers pour cette première saison ensemble. Merci également à Yoann Bibbeau toujours là pour nous encourager et préparer notre Groupama 40 ! »
Les hommes du team réfléchissent déjà à l'an prochain, comme en témoigne la conclusion de Tanguy Cariou en charge de la gestion de l'équipe navigante de Groupama 40 et tacticien du bord : « Il va vraiment falloir que l'on s'entraîne si nous voulons être meilleurs l'an prochain. Il faudra que nos entraînements soient spécifiques et adaptés aux particularités des différents plans d'eau sélectionnés. Mais, le potentiel, nous l'avons, il faudra compter avec nous ! » ...
Source : Groupama
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